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De Freinet à B. Collot en passant par Montessori, Ceux qui nous inspirent !

Ce sont plusieurs approches pédagogiques qui inspirent l’Ecole des Possibles :

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- Les pédagogies actives de Freinet, Montessori, et les écoles démocratiques inspirées de la Sudbury Valley School ​fonctionnant depuis 1969 aux États-Unis et surtout celle de Sophie Rabhi qui y a introduit la médiation et la CNV

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- le unschooling et les pédagogies sociales avec Laurent Ott, John Holt, Arno Stern, Freire…

 

- et surtout l'école du 3ème type de notre cher Bernard Collot !

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Bernard Collot, enseignant en retraite dont nous avons lu les ouvrages (notamment "La pédagogie de la mouche") et que nous avons eu la chance de  rencontrer. Inspiré lui-même des pédagogies actives de Célestin et Elise Freinet, il a été plus loin dans ses recherches et réflexions pédagogiques et éducatives ainsi que dans sa pratique en milieu rural en classe unique multi-âge. Avec un recul d’une vingtaine d’années de pratique, croisées avec ses recherches, il est arrivé au constat qu’effectivement les enfants ont besoin d’être acteur pour apprendre et surtout que la vie même du groupe et de ses individus est source d’apprentissage.

Chaque moment et surtout chaque « imprévu » est source d’acquisition de nouvelles compétences et de développement d’une multitude de langages (représentations) qui nous permettent ensuite d’évoluer dans le monde… et de faire évoluer le monde.

En 2 heures, tout est dit dans cette vidéo.

C'est sûr : 
L'école des possibles c'est complètement 3ème type ;
L'Effet mouche c'est 100% Collot !

Et cette même logique de remettre de l'humanité dans nos relations, via un Espace de Vie Sociale :

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- Un vœux de démocratie participative. Loïc Blondiaux, chercheur à Paris Sorbonne notamment sur les questions de démocratie participative est éclairant sur le lien entre l'école et le fonctionnement de la société :

« La question de la démocratie est culturelle, voire anthropologique. Comment faire démocratie avec des citoyens qui ont été formés, déformés par le système éducatif, avec des méthodes pédagogiques qui limitent et engendrent de la frustration ? Il faudrait ne pas sélectionner les uns pour désélectionner les autres. Il s’avère que les méthodes sont antinomiques avec l’objectif même de démocratie. Il est urgent de transformer l’école. »

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- Un vœux de que chacun développe son pouvoir d'agir, en développant ses compétences et adoptant une posture d'acteur responsable. Christian Maurel (sociologue) définit l'éducation populaire comme étant « l'ensemble des pratiques éducatives et culturelles qui œuvrent à la transformation sociale et politique, travaillent à l'émancipation des individus et du peuple, et augmentent leur puissance démocratique d'agir ».

 

- un voeux de faire l'expérience de la gouverance partagée, tant plébiscitée par le milieu associatif de la transition et qui sied pourtant si bien à la gouvernance des entreprises. Frédéric Laloux.

Dans cette nouvelle forme d'organisation, « nous sommes appelés à découvrir et à rejoindre notre nature véritable, à déployer notre potentiel unique, à libérer nos talents innés. C'est une sorte de révolution copernicienne dans un monde où l'on nous dit sans cesse que la réussite est la seule chose qui compte, que certaines études et certains métiers plus que d'autres vont nous mener au succès et au bonheur. La perspective de cette nouvelle forme d'organisation nous invite à lâcher nos idées préconçues et à écouter où la vie nous appelle. »

Notre école d'immersion :

Partie 1

Partie 2

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